Plakias

Arrivés en milieu d'après-midi à Plakias sous un soleil toujours généreux, nous terminons notre parcours de la journée par un verre (jus de fraises frais) dans un bar de cette station, avant de rejoindre l'hôtel dans lequel nous passerons les deux nuits à venir. La station est assez touristique ; l'ambiance des bars s'en ressent.

Pour l'anecdote, au moment de rejoindre l'hôtel, je perds le groupe et essaye alors de demander alors mon chemin à un vieux grec qui vendait sa récolte de cerises au bord de la route. Sauf que... ça n'est pas facile quand on ne connaît pas plus de 3 mots de grec, seule langue que mon interlocuteur semblait connaître ! Alors j'ai bien essayé par les signes, en mimant :  yeux, 10, vélo, passer... Je crois qu'on ne peut pas dire que ça a été une réussite,  puisqu'il m'a proposé en réponse son cageot de cerises...
C'est finalement à l'aide d'un loueur de voitures qui avait vu le groupe partir, que j'ai pu retrouver l'hôtel, situé à 500m de là.

Temps libre pour cette fin d'après-midi, qui se traduira notamment par un premier bain dans la mer de Lybie.
Repas à l'hôtel, puis soirée tranquille et conviviale autour d'un verre dans le bar où nous avions été dans l'après midi (histoires drôles de Rania).

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Le lendemain, de retour de notre circuit "en boucle" de découverte du monastère et de la palmeraie de Prévéli (pages suivantes), un temps libre avant le repas du soir est l'occasion de faire quelques courses chez les commerçants de Plakias, prendre un bain et profiter des derniers rayons de soleil avant son coucher à 20h30.

Repas du soir bien copieux dans un restaurant près du port : une occasion de plus de combler les papilles avec la bonne cuisine grecque ! Fêta grillée, tomate et aubergine farcie (au riz) servies avec quelques frites, yaourt grec au miel et aux noisettes sont quelques exemples de plats locaux que l'on retrouve partout dans l'île.

23h - la soirée ne fait que commencer : bar à musique, puis finalement discothèque à l'autre bout de la plage. Dans l'un comme dans l'autre, on ne s'y bouscule pas : nous y sommes pratiquement les seuls, à une bonne demi-douzaine de personnes près. Retour à l'hôtel à 2h du matin. Le vent qui commençait à souffler depuis le coucher du soleil ne cessera de s'amplifier durant toute la nuit et les deux jours suivants, lors de la suite de notre périple le long de la mer de Lybie ( = quelques pages plus loin ).